Un solo à transmettre
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Parce que la transmission fait partie intégrante du projet de LUCANE, parce qu’elle est pour Aëla Labbé et Stéphane Imbert, essentielle et propre à être un moteur dans leur travail, ils désirent réaliser une pièce chorégraphique qui questionne les notions de représentation et de transmission. UN SOLO À TRANSMETTRE pour personne(s) ?
La composition chorégraphique est basée sur deux soli aux modes d’écriture différents (l’un démarrant du mouvement, l’autre d’états de corps en résonance à des matières visuelles).
Les deux chorégraphies se créent indépendamment et la recherche exacerbe leurs spécificités gestuelles.
La création se déploie en plusieurs propositions : 1 solo, les 2 soli, les 2 soli avec une transmission à groupe d’individus-danseurs.
Dès lors, les deux soli sont un désir d’expression individuelle et l’alibi d’une rencontre avec l’autre, les autres.
De l’individu au groupe, de l’unité à la multiplicité, de l’unité solo à l’unité groupe, du solo aux soli au solo.