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C’est un zoom, un oeil sur le quotidien qui dévoile la circonvolution du temps, ce temps qui passe avec en son centre l’énergie de la mesure qui nous sert de bouée.
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Des rythmes à temps multiples pour quatre danseurs. Huit pieds, huit mains, une voix qui s’accrochent aux racines et des têtes qui se suspendent aux étoiles. XY, de la danse dans sa pluralité – masculin et féminin à la fois, terrien et aérien, solide et liquide, rectiligne et surviligne… traditionnel et actuel, mandingue et urbain.
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C’est un zoom, un oeil sur le quotidien qui dévoile la circonvolution du temps, ce temps qui passe avec en son centre l’énergie de la mesure qui nous sert de bouée.
Un mouvement qui explose, un corps haletant, un vent qui caresse la peau, un rythme cardiaque qui accélère, un regard qui part, le batteur qui soutient, attrape, mène le rythme et le rend familier…
Des rythmes à temps multiples pour quatre danseurs. Huit pieds, huit mains, une voix qui s’accrochent aux racines et des têtes qui se suspendent aux étoiles. XY, de la danse dans sa pluralité – masculin et féminin à la fois, terrien et aérien, solide et liquide, rectiligne et surviligne… traditionnel et actuel, mandingue et urbain.
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C’est un zoom, un oeil sur le quotidien qui dévoile la circonvolution du temps, ce temps qui passe avec en son centre l’énergie de la mesure qui nous sert de bouée.
Danser résonne comme une résistance, un cri pour survivre, vivre… vivre pour danser… danser pour survivre…
Un mouvement qui explose, un corps haletant, un vent qui caresse la peau, un rythme cardiaque qui accélère, un regard qui part, le batteur qui soutient, attrape, mène le rythme et le rend familier…
Des rythmes à temps multiples pour quatre danseurs. Huit pieds, huit mains, une voix qui s’accrochent aux racines et des têtes qui se suspendent aux étoiles. XY, de la danse dans sa pluralité – masculin et féminin à la fois, terrien et aérien, solide et liquide, rectiligne et surviligne… traditionnel et actuel, mandingue et urbain.
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